Monsieur Christophe BECHU : « Nous ne laisserons personne sans solution » Nous avons voulu interroger Monsieur Le ministre Christophe Bechu sur sa politique de Transition écologique ,suite a sa prise de position assez sur…
Lire la suitePublié le 30 mars 2018 | par Rédaction
La croissance britannique a été moins forte qu‘initialement estimé en 2017. La révision en baisse de la croissance du quatrième trimestre et de l‘ensemble de l‘année soulève en outre des interrogations concernant la vigueur de l‘économie alors que la Banque d‘Angleterre (BoE) prépare les esprits à une nouvelle hausse de taux.
Le produit intérieur brut a progressé de 0,4 % en octobre-décembre par rapport aux trois mois précédents, alors que les économistes s‘attendaient à ce que l‘Office de la statistique nationale (ONS) confirme sa première estimation de 0,5 %.
Sur l‘ensemble de 2017, la croissance britannique a également été révisée en baisse de 0,1 point à 1,7 %, à son plus bas niveau depuis 2012 et contre un rythme de 1,9 % en 2016. Le pays s‘est appuyé sur la croissance mondiale étonnamment robuste pour soutenir son économie alors que les ménages ont souffert de l‘accélération de l‘inflation déclenchée par la baisse de la livre sterling depuis 2016.
Le gouverneur de la Banque d‘Angleterre Mark Carney a récemment durci le ton en déclarant que les taux devraient probablement être relevés plus tôt qu‘il ne le pensait en novembre, lors du premier relèvement en dix ans. La plupart des économistes tablent sur une hausse des taux d‘intérêt britanniques en mai et les marchés financiers anticipent un nouveau relèvement, à 1 %, d‘ici la fin de l‘année. Il s‘agit du rythme le plus faible de toutes les économies du G7, y compris des pays traditionnellement à la traîne comme le Japon et l‘Italie.
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