Publié le 20 septembre 2011 | par Rédaction

L’essentiel en 5 points
– Ne peuvent être transformés en voiture de société que les modèles disposant d’un hayon (berlines bi-corps 3 ou 5 portes, breaks, SUV, monospaces)
– Les constructeurs s’intéressent de plus en plus à ce marché et développent leur offre d’origine
– La réversibilité en 5 places permet d’élargir le panel de modèles pour l’entreprise…
– … et permet une revente plus facile et avec un prix de vente plus élevé
– Sous l’impulsion de l’Union Européenne, les nombreux avantages fiscaux dont disposent les voitures à deux places pourraient s’amoindrir ou même disparaître

Les voitures de société (ou VS) sont des modèles disposant d’un hayon et dont la partie arrière est exempte de sièges, permettant ainsi de l’assimiler à un véhicule utilitaire.

Logiquement, ces véhicules bénéficient de la récupération de la TVA par l’entreprise lors de son acquisition, sont exemptés de TVS et permettent une récupération à 100 % de la TVA sur le gazole. Si la vocation première des voitures de société est le transport d’un collaborateur et de matériel, les nombreux avantages fiscaux expliquent l’intérêt de nombreuses entreprises pour ce type de véhicules.

Toutes les voitures sont-elles transformables ?

Que la voiture ne dispose que de deux places et d’un espace de chargement à l’arrière est une condition nécessaire mais pas suffisante pour lui permettre de disposer des nombreux avantages fiscaux liés à son assimilation à un véhicule utilitaire. Sinon, n’importe quelle Porsche 911 RS pourrait être ainsi assimilée.

« D’un point de vue technique, n’importe quelle voiture peut être transformée. Cela étant, il faut que le modèle dispose d’un hayon, c’est-à-dire que cela ne concerne que les voitures bi-corps, les breaks ou les monospaces. Les berlines classiques à coffre ne peuvent donc pas bénéficier des avantages liés aux voitures de société. Après c’est l’emploi du véhicule par l’entreprise qui justifie le fait qu’il s’agisse d’une voiture à vocation professionnelle. Sinon, le risque est d’avoir un redressement fiscal lié au reclassement de cette voiture comme une voiture particulière et non comme une voiture de société » explique Patrick Buchard, directeur commercial et marketing de Gruau.

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« En tant que constructeur, la récupération de la TVA n’est pas de ma responsabilité. C’est l’usage qui va être fait du véhicule qui permet de le considérer comme une voiture de société. Ainsi, si les transformations restent possibles sur les SUV, je conseille aux dirigeants des entreprises de pendre contact avec leur centre des impôts pour faire constater l’usage du véhicule et ainsi éviter un possible redressement ultérieur » confirme Thomas Jabelot, responsable grands comptes et développement de la gamme VUL chez Toyota France.

Un marché très concentré

Logiquement, les marques françaises représentent une très large majorité des modèles écoulés, les Renault Clio et autres Citroën C3 et Peugeot 207 étant les stars incontestables de ce marché tout de même important comme le rappelle Olivier Rigoni, directeur associé du cabinet conseil Cogecar : « Sur les 900 000 véhicules flottes vendus par an, environ 400 000 sont des VUL et des VS. Il s’agit donc d’un vrai marché pour les constructeurs.

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D’ailleurs, ils s’y intéressent de plus en plus et développent une vraie offre de produits clés en mains directement élaborés dans les usines. Ce qui risque de faire perdre de l’intérêt aux modèles réversibles (qui sont des VP cinq places transformés et aménagés en deux places puis retransformés en 5 places pour la revente) proposés par les carrossiers.

En l’état actuel des choses, ce sont principalement les constructeurs étrangers qui sont intéressés par des solutions réversibles. Cela leur permet d’être présent sur ce marché des VS tout en n’obérant pas la valeur résiduelle de leurs modèles ». « Nous venons en complément de l’offre des constructeurs. Plus les clients montent en gamme, plus nous sommes présents grâce à notre savoir-faire qui nous permet d’intervenir sur n’importe quel modèle de n’importe quelle marque. Cela étant, les segments B et M1 sont les plus représentés ; déjà, avec le segment M2 la part des VS devient très faible.

Cela étant, face à une Clio usine fabriquée à Flins, nous pouvons proposer des transformations de Clio plus haut de gamme et mieux équipées qui peuvent intéresser certaines entreprises pour faire plaisir aux collaborateurs » explique Patrick Buchard.

Et du côté des loueurs, quelle analyse font-ils de ce marché ?

Laurent Corbellini confirme que « les VS pèsent lourds dans l’activité, plus que le VUL et environ 1/3 du VP. Ces véhicules roulent plus et sont conservés plus longtemps que les VP et un peu moins que les VUL. Le marché est très concentré sur le segment B, notamment avec les produits usine, puisque ce segment représente à lui seul 80 % de notre activité VS. Le M1, qui vient immédiatement après ne représente que 13 %. Les constructeurs français ont environ 80 % de parts de marché, Ford, Fiat et Opel venant derrière ».

Une analyse confirmée par le représentant de LeasePlan : « Nous avons la même analyse. Chez nous, les VS représentent environ 30 % de notre parc de véhicules utilitaires, une valeur qui reste stable ». « Auparavant, la transformation de certains gros 4×4 était un moyen pour les dirigeants de petites entreprises, notamment dans le bâtiment, de rouler dans une grosse voiture à moindre frais, avec des risques de redressement non négligeables.

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Les choses ont quand même beaucoup évoluées » rappelle Olivier Rigoni. « Les 4×4 représentent moins de 1% du parc aujourd’hui » souligne Laurent Corbellini. « Même si cela reste epsilonnesque, il y en a quand même régulièrement dans nos ateliers » constate Richard Renoux, responsable commercial grands comptes privés et loueurs chez Durisotti.

Transformer un véhicule déjà présent dans l’entreprise

Compte tenu du fait qu’il est techniquement possible, à condition de respecter la réglementation imposant la présence d’un hayon, de transformer à peu près n’importe quel modèle, cela a-t-il un sens de faire transformer un véhicule 5 places déjà présent dans le parc de l’entreprise ? « Cela est effectivement possible, mais les démarches administratives risquent d’être très compliquées » affirme Richard Renoux.

Laurent Corbellini abonde en son sens : « la part technique n’est pas compliquée. En revanche, la part fiscale va être beaucoup plus complexe avec notamment les problèmes de récupération de TVA déjà faites et la part restant à récupérer. Le comptable risque de s’arracher les cheveux ». « Mieux vaut revendre la voiture et racheter un VS, cela s’avèrera beaucoup plus simple » conclut Patrick Buchard.

C’est quoi la transformation ?

En quoi consiste la transformation d’une voiture particulière en voiture de société ? Il s’agit avant tout de déposer la banquette et les ceintures de sécurité puis de placer un arrêt de charge et un compartiment de chargement. « Les carrossiers disposent d’une réelle expertise, notamment en ce qui concerne le montage des différents éléments composant le nouvel équipement mais aussi l’isolation et le conditionnement des anciens équipements.

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Durisotti propose son programme Flexipack qui assure le gardiennage de la banquette et des visseries de 12 à 72 mois permettant ensuite d’assurer la retransformation du véhicule en fin de contrat, avant la revente » affirme Richard Renoux. « Les carrossiers effectuent de nombreuses recherches pour proposer des transformations qui assurent une utilisation efficace et sûre des équipements » confirme Patrick Buchard, directeur commercial et marketing de Gruau.

Quelle part de VS sont retransformés en VP ?

Face aux véhicules de société transformés en usine, les véhicules réversibles permettent de retransformer le VS en voiture particulière 5 places, facilitant ainsi sa revente. « Notre activité porte plus sur des Clio société ou des Fiesta Affaires que sur des véhicules haut de gamme réversibles » affirme Arnaud Mangold, chargé du développement des véhicules utilitaires chez LeasePlan. « Dans le cadre de notre activité Logistock, nous pouvons assurer un stockage et une réversibilité rapide des véhicules.

Cela est essentiel pour que les loueurs puissent écouler le plus rapidement possible le véhicule sur le marché de l’occasion. Quasiment 100 % des voitures de société Gruau sont retransformées en fin de contrat. Cela permet une revente plus rapide et à un prix plus élevé » explique Patrick Buchard. « Sinon, cela n’aurait aucun intérêt de stocker les banquettes et les équipements démontés sur le véhicule » confirme Richard Renoux. « Depuis qu’il existe des voitures deux places, le problème majeur de ces véhicules est leur recommercialisation sur le marché des véhicules d’occasion » souligne Laurent Corbellini.

« Auparavant, il fallait organiser le stockage, le plus souvent dans un garage et la retransformation était souvent problématique, notamment avec des banquettes vétustes » se souvient Arnaud Mangold, chargé du développement des véhicules utilitaires chez LeasePlan. Il poursuit : « Le principe de la réversibilité permet aux collaborateurs de bénéficier de véhicules mieux équipés et plus confortables tout en maintenant un loyer intéressant.

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Les voitures transformées réversibles permettent aussi à l’entreprise de proposer un avantage social pour les utilisateurs des voitures de société. Ceux-ci passent beaucoup de temps dans leur véhicule. Disposer d’une voiture mieux équipées et plus confortable ou même d’un modèle original permet de fidéliser ses collaborateurs et d’éviter des conflits sociaux ». Un point de vue partagé par Patrick Buchard, directeur commercial et marketing de Gruau : « la politique sociale de l’entreprise par la mise à disposition des salariés de véhicules bien équipés et plus valorisants. Sachant que les coûts sont globalement couverts du fait de la revente plus facile de ces modèles. Une flotte a ainsi récemment fait appel à nous pour transformer des Citroën DS3. Dans le même ordre d’idée, une flotte de Fiat 500 noires allie l’agrément des conducteurs et une image de marque forte ».

Si la réversibilité était jusqu’à présent la seule possibilité offerte chez Toyota, le constructeur a décidé de s’attaquer plus sérieusement à ce segment de marché comme l’explique Thomas Jabelot : « notre offre était jusqu’à présent uniquement basée sur notre catalogue de voitures particulières. Cette offre a le mérite de sa grande souplesse par rapport aux besoins et aux attentes des clients. Cela étant, nous allons lancer des solutions constructeurs d’origine sur la nouvelle Yaris et sur l’Auris dès la rentrée prochaine. Toyota a clairement l’ambition d’être présent sur ce marché qui passe nécessairement par une offre constructeur ».

Répondre aux besoins des utilisateurs

Les transformations effectuées par les carrossiers ont aussi pour but d’optimiser l’exploitation du véhicule et à aider les collaborateurs dans leurs métiers. « Il existe une demande spécifique pour adapter des aménagements sur certaines voitures. Nous avons ainsi récemment réalisé une série de coffres avec des rangements pour les vêtements de pluie et les ordinateurs pour une société. L’idée est d’optimiser l’exploitation du véhicule.

La difficulté est de trouver une transposabilité de l’équipement pour tous les véhicules de toutes les marques. Cela est essentiel dans la mesure où le client souhaite changer de marque de modèle » affirme Richard Renoux. « La part des véhicules bénéficiant d’un aménagement intérieur est difficile à estimer. Il s’agit surtout de protections des valeur ou de systèmes antivol » précise Patrick Buchard.

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« Par principe et en fonction de notre expérience, les utilisateurs font plus attention aux VP transformés qu’à un modèle société de base. L’aménagement intérieur permet aussi d’améliorer les conditions de travail et donc le respect de l’utilisateur pour son véhicule » confirme Ouafi Khoubich, analyste prix chez Fraikin. « Il ne faut pas perdre de vue que les VS sont liés à l’usage des véhicules dans l’entreprise.

Dans certaines TPE, le véhicule de société est le véhicule du patron, les autres véhicules de l’entreprise étant des utilitaires. Dans les Pme, le choix des véhicules de sociétés à deux places et TVA récupérable est directement lié aux coûts d’exploitation et à l’usage » rappelle Laurent Corbellini, directeur marketing d’ALD Automotive France.

« Pour permettre au salarié de bénéficier d’une auto mieux équipée ou plus valorisante, il existe un moyen simple et relativement efficace : celui de la participation financière du salarié dans la mise à disposition du véhicule de son choix. Le surcoût éventuel par rapport à la car-policy de base est alors intégralement transféré vers le salarié. C’est un deal gagnant-gagnant aussi bien pour l’entreprise que pour le salarié » conclut Olivier Rigoni, directeur associé du cabinet conseil Cogecar.

En conclusion

Chez Leaseplan, les responsables du développement ont décidé d’augmenter leur présence sur ce marché comme l’expose Arnaud Mangold, chargé du développement des véhicules utilitaires chez LeasePlan : « Nous avons lancé la réversibilité pour être plus proche des attentes de nos clients. Le marché des voitures de société représente de gros enjeux aussi bien pour nous, avec un panel large de véhicules à recommercialiser, que pour nos clients, sous l’aspect fiscal et social. Les clients recherchent une alternative et un prix. Plus nous aurons de produits dédiés et plus nous pourrons répondre favorablement et de façon satisfaisante à nos clients ».

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Logiquement, Laurent Corbellini, autre représentant d’un loueur longue durée fait le même genre d’analyse : « Nous nous devons de continuer à accompagner nos clients. Il faut faire des analyses de plus en plus fines des besoins en prenant en compte la fiscalité, l’usage fait du véhicule et l’aspect social. Les possibles changements liés à la réglementation viendront certainement de Bruxelles ».

Autre loueur longue durée représenté à notre table ronde, Fraikin joue toujours la carte du spécialiste des véhicules utilitaires, légers ou lourds, comme l’explique Ouafi Khoubich, analyste prix : « notre volonté est de proposer à nos clients une offre full services à l’image de ce que nous proposons pour les poids lourds. Notre souhait est de proposer des véhicules mieux équipés avec un entretien suivi au mieux en fonction de l’utilisation faite du véhicule grâce à nos ateliers intégrés ».

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Seul représentant de l’industrie automobile, Thomas Jabelot, responsable grands comptes et développement de la gamme VUL chez Toyota France tient à rappeler que « les dérivés de VP en entreprise sont un sujet d’actualité pour tous les constructeurs. Nous disposerons, comme je l’ai déjà exposé, d’une gamme constructeur à la rentrée. C’est pourquoi nous suivons de près ce marché sans remettre en cause notre offre réversible avec stockage des banquettes ».

Acteurs complémentaires de l’offre constructeur d’origine, les carrossiers restent incontournables actuellement. Selon Patrick Buchard, directeur commercial et marketing de Gruau « notre offre vient en complément de celle des constructeurs. Notre souhait est d’être présent chez tous les constructeurs et de répondre aux besoins des utilisateurs sur tous les modèles. Notre plus-value tient aussi aux services que nous apportons comme le stockage des équipements ou l’implication de notre propre réseau et l’intranet d’informations mis à disposition des loueurs ».

Autre carrossier, Durisotti à travers la voix de Richard Renoux, responsable commercial grands comptes privés et loueurs chez Durisotti confirme « le positionnement du carrossier comme un intervenant complémentaire de l’offre des constructeurs. Nous tenons un rôle de conseil aussi bien auprès des utilisateurs que des constructeurs et des loueurs pour calculer le coût complet d’une transformation réversible et de les accompagner pour les homologations. Notre ambition est de nous développer sur ce marché via les loueurs, les réseaux et les clients grands comptes ».

Le mot de la fin revient à l’observateur indépendant qu’est Olivier Rigoni, directeur associé du cabinet conseil Cogecar : « le marché de la transformation de véhicules particuliers en voiture de société deux places à TVA récupérable va certainement aller en s’amenuisant avec la montée en puissance régulière de l’offre d’origine par les constructeurs. Le marché de la transformation n’est là que parce que l’offre des constructeurs est encore faible. Il ne subsistera ensuite qu’à travers des modèles originaux avec une vocation marketing élevée. Il conviendra aussi de faire attention à la future évolution de la législation européenne qui pourrait déboucher sur une remise en cause de l’intérêt de ce type de véhicule dans les flottes ».

Les participants à la table ronde

Richard Renoux, responsable commercial grands comptes privés et loueurs chez Durisotti : « Les carrossiers disposent d’une réelle expertise, notamment en ce qui concerne le montage des différents éléments composant le nouvel équipement mais aussi l’isolation et le conditionnement des anciens équipements »

Arnaud Mangold, chargé du développement des véhicules utilitaires chez LeasePlan : « Le principe de la réversibilité permet aux collaborateurs de bénéficier de véhicules mieux équipés et plus confortables tout en maintenant un loyer intéressant »

Thomas Jabelot, responsable grands comptes et développement de la gamme VUL chez Toyota France : « nous allons lancer des solutions constructeurs d’origine sur la nouvelle Yaris et sur l’Auris dès la rentrée prochaine. Toyota a clairement l’ambition d’être présent sur ce marché qui passe nécessairement par une offre constructeur »

Laurent Corbellini, directeur marketing d’ALD Automotive France : « Dans les Pme, le choix des véhicules de sociétés à deux places et TVA récupérable est directement lié aux coûts d’exploitation et à l’usage »

Ouafi Khoubich, analyste prix chez Fraikin : « Notre souhait est de proposer des véhicules mieux équipés avec un entretien suivi au mieux en fonction de l’utilisation faite du véhicule grâce à nos ateliers intégrés »

Olivier Rigoni, directeur associé du cabinet conseil Cogecar : « Les constructeurs s’intéressent de plus en plus au marché des VS en proposant des transformations d’usine ce qui risque de faire perdre de l’intérêt aux modèles réversibles proposés par les carrossiers »

Patrick Buchard, directeur commercial et marketing de Gruau : « C’est l’emploi du véhicule par l’entreprise qui justifie le fait qu’il s’agisse d’une voiture à vocation professionnelle. Le risque est d’avoir un redressement fiscal lié au reclassement de cette voiture comme une voiture particulière »

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