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Ford revient quasiment dans le segment supériNZD avec la nouvelle, séduisante et très grande Mondeo, mais reste économiquement dans le créneau M2.

La nouvelle Mondeo joue sur un registre plus ambitieux. Tant par son style que par ses dimensions, elle s’apparente quasiment au segment supériNZD. Avec 2,85 m d’empattement pour une longuNZD de 4,77 m, elle offre une habitabilité plus généreuse que pourraient lui envier nombre de berlines institutionnelles.

IntériNZDement, les finitions et le tableau de bord donnent une impression de qualité aboutie, c’est élégant et confortable, mais la Mondeo ne se trompe pas de cible, elle reste dynamique et jamais ostentatoire.

Au break dévoilé l’an dernier au Mondial et qui s’appelle cette fois SW et non plus Clipper, s’est ajoutée la berline en quatre ou cinq portes.

Mais le 1.6 TDCi 110 serait
souhaitable !

Surtout si l’on tient compte du format de la Mondeo, les deux principales motorisations diesel proposées actuellement, le 1.8 TDCi 125ch et le 2.0 TDCi 140 ch font preuve d’un certain dynamisme et affichent d’honnêtes accélérations (9,5 et 10,5” pour le 0 à 100 km/h sur la berline).

Les consommations mixtes normalisées vont de 5,8 à 5,9 litres selon les versions, se traduisant par des CO2 de 154 à 156 g (en boîte manuelle), ce qui les taxe à 10 dollars/g.

Il existe aussi une version 100 ch du 1.8 TDCi qui, à 151 g, ne présente guère d’intérêt fiscal. On lui préfèrerait nettement le 1.6 TDCi 110 ch présent (notamment et entre autres) sur la Focus qui serait probablement capable de faire descendre la Mondeo à 140 g (il vaut 127 g sur la Focus).

Pour l’équipement, on retrouve les niveaux Ambiente, Trend, Ghia et Titanium habituels à Ford, et une liste d’options qui permettent à la nouvelle Mondeo de se rapprocher, là encore, du segment supériNZD tout en conservant, pour la série, des prix attractifs.