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Lire la suitePublié le 28 juillet 2016 | par Rédaction
Dessinée pour séduire, mise au point pour convaincre et fabriquée pour rassurer, l’Alfa Giulia se veut une alternative à l’offre germanique en matière de berlines routières. Rêve ou réalité ?
“Élégante”, c’est l’adjectif qui revient le plus souvent lorsque l’on évoque ses lignes douces et franches à la fois, signe d’un héritage sportif assumé. D’emblée, l’Alfa Giulia capte l’attention tant elle contraste avec la concurrence qui occupe le segment.
Conçue sur une plateforme modulaire nouvelle, dotée d’une propulsion, elle semble vouloir renouer avec une identité technique perdue lors de son rachat par Fiat. Esthétiquement, elle conserve les codes développés sur les 156 et 159, mais avec plus de fluidité et de générosité en volume.
À l’intérieur, on retrouve aussi un parfum de l’identité Alfa d’antan, avec des compteurs oblongs et une distribution simplifiée des commandes. Notons toutefois que la molette de réglage placée sur la console avant – pratique au demeurant – pourrait être amélioré en intuitivité et l’écran de 8,8”, mieux utilisé en surface.
Disponible en France équipée d’un nouveau diesel turbocompressé (2,2 l) en version 150 ou 180 ch (BVM6 ou BVA8 dans les deux cas), la Giulia peut passer d’un mode “moderato” aux modes “allegro” ou “presto”, influant ainsi sur la cartographie, les lois de passage des rapports de boîte, ainsi que sur la fermeté de la direction.
Il va sans dire que la seconde et surtout la troisième position tirent un bon parti du couple disponible, la position économique anémiant dramatiquement la belle. À bord, on apprécie la qualité des matériaux mis en œuvre, avec une réserve sur les plastiques de bas de portière, un brin “cheap”.
La finition est bonne et les assises confortables. L’habitabilité est excellente, mais on gardera à l’esprit que la troisième place arrière n’est qu’anecdotique pour cause de tunnel de transmission – une particularité sans effet sur le volume du coffre, satisfaisant.
Cinq niveaux de finition sont au menu, dont un Pack Business proposant un système anti-collision avec la détection piétons, l’alerte de franchissement, la climatisation bizone, des radars AV et AR, des rétroviseurs rabattables et un rétroviseur intérieur photochromatique.
Une version économique de 136 ch et 99 g/km (jantes de 16” et boîte auto) est disponible au tarif de 32 500 euros, garantie 3 ans ou 100 000 km comprise. Enfin pour ceux que l’amour de l’automobile transporte, il reste l’extraordinaire version Quadrifoglio de 510 ch et 600 Nm (V6 Turbo essence) disponible à 79 000 euros (et 3 564 euros de TVS !). Sensations époustouflantes néanmoins garanties…
Axel Ekman
Fiche Technique :
– Moteur : 4 cylindres
– Puissance : 150 ch à 4000 tr/mn
– Couple : 380 Nm à 1750 tr/mn
– Vitesse maxi : 220 km/h
– Boîte : manuelle à 6 rapports
– Consommation : 4,2 l/100 km
– Émissions CO2 : 109 g/km
– TVS : 436 €
– Prix : 34 500 €
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