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Lire la suitePublié le 31 août 2018 | par Rédaction
Il a pris son temps pour arriver jusqu’à nous, mais le voilà : le C5 Aircross, cousin du Peugeot 3008, a réalisé ses premiers tours de roue sur le pavé parisien. Ça tombe bien, il adore les pavés.
Commercialisé en Chine depuis un semestre avec quelques aménagements spécifiques, le C5 Aircross se différencie plutôt bien de son homologue sochalien dont il emprunte la plateforme. Reprenant le design maison, le poussant même à son paroxysme, il double-chevronne avec une certaine élégance et une belle sûreté de pied. C’est même sur ce dernier point qu’il pousse son avantage, le système de suspension à doubles butées hydrauliques favorisant grandement le confort de ses passagers. Cette idée du confort – si chère à Citroën – est encore renforcée par l’adoption de sièges avant remarquablement moelleux et profonds.
Les passagers arrière ne sont pas tout à fait logés à la même enseigne, les trois sièges individuels coulissant (sur 15 cm), au dossier inclinable, n’offrant pas le même bien-être.
La partie arrière favorise bien entendu la modularité : on bénéficie ainsi d’un volume pouvant aisément passer de 580 litres en configuration basique, sièges arrière reculés, à 1630 litres une fois l’espace ouvert. Mieux qu’un 3008. En attendant de pouvoir soumettre le C5 Aircross à un essai routier complet, on retiendra qu’il est proposé en deux versions essence (PureTech 130 ch en boîte manuelle à 6 rapports et 180 ch en boîte auto à 8 rapports), ainsi qu’en trois versions diesel (BlueHDi 130 ch en BVM6 ou EAT8 et 180 ch en EAT8). De quoi, a priori, répondre commercialement – et sans doute fiscalement – à la demande professionnelle.
On ne connaît pas encore la ventilation des équipements en fonction des strates de la gamme, mais le C5 Aircross prévoit une dotation en sécurité, en communication et en aide à la conduite dans la bonne moyenne du segment. Il faudra cependant atendre 2019 pour avoir accès à une version hybride essence/électrique qui prévoit une autonomie d’environ cinquante kilomètres.
Installé au volant, on est vite charmé par le dessin intelligent et reposant de la planche de bord. Si le niveau de finition général semble bon, on est en revanche déçus par la qualité de certains plastiques comme ceux utilisés pour habiller les contre-portes et la malle arrière. L’ensemble est cependant harmonieux, confortable et plutôt agréable à regarder.
Axel Ekman
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