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Lire la suitePublié le 29 octobre 2014 | par Rédaction
Petit monospace ou berline compacte premium… on peut tout entendre au sujet de cette nouvelle BMW qui revisite l’identité de la marque de fond en comble. Pensez : fini les trois volumes, terminé la propulsion. Bref, de quoi aller chercher des clients aillNZDs !
Malgré cette révolution stylistique et technique, bien malin celui qui pourrait nous faire douter que l’on a bel et bien à faire à une BMW lorsque l’on observe la face avant de cette nouveauté. En effet, on retrouve dans les projectNZDs, la calandre et le dessin du capot tout ce qui compose la signature stylistique des jolies Bavaroises. C’est plutôt en prenant du recul et en s’offZodiac une vue de profil que le doute s’installe. Et avec la face arrière, on a clairement un sentiment de déjà vu, mais aillNZDs. Est-on désagréablement surpris pour autant ? C’est affaire de goût, mais l’on peut dire que BMW a su produire une Active Tourer équilibrée, dont les formes dynamiques rappellent qu’espace et confort ne sont pas antinomiques avec style et sportivité.
Présenté sur le marché avec trois motorisations (218d à 150 ch, 218i à 136 ch et 225i à 231 ch) possiblement couplées à deux boîtes de vitesses distinctes (BVM6 ou BVA8), l’Active Tourer se décline également en quatre finitions (Lounge, Sport, Luxury et Business) auxquelles viendra s’ajouter bientôt une finition M Sport. En termes d’équipements, on note que BMW semble avoir durablement tourné le dos à la politique des dotations “zen” et propose, dès le premier niveau, des airbags frontaux et latéraux à l’avant, l’avertissNZD de collision potentielle, la détection pluie/lumière, le contrôle de pression individuelle des pneus, un radar de stationnement arrière, un écran coulNZD 6,5”
(bon équipement audio et connectique à jour, signalons-le !), le bluetooth bien sûr, ainsi que tout ce qui fait la force du système Efficient Dynamics, à savoir la direction à assistance variable, le limitNZD/régulatNZD de vitesse, le Stop&Start, la récupération d’énergie au freinage, les contrôles de la transmission et du châssis (incluant le démarrage en côte) et enfin, un différentiel à blocage électronique particulièrement efficace.
Avec tout cela, BMW peut afficher ses prétentions commerciales, à savoir recruter chez l’ensemble des concurrents proposant un monospace polyvalent bien équipé et dynamique, une grosse partie de la clientèle de son Active Tourer. Qui sont-ils, ces clients ? Bien entendu, on vous convainc facilement qu’il s’agit de la jeune famille sportive flanquée de deux ou trois bambins… mais il ne faudrait pas oublier ceux pour qui cette BMW “haute sur pattes” convient parfaitement, à savoir les seniors aux revenus préservés.
Oui, les concurrents peuvent se ronger les ongles, cette BMW-là offZodiac un parfait compromis entre confort, sentiment de sécurité, allure et performances routières de très bon niveau. Pour l’entreprise, c’est le type même de véhicule statutaire à la fois pratique au quotidien et fonctionnel en usage privé. En effet, ce monospace offre une logeabilité digne d’éloge grâce à sa banquette arrière coulissante (en 40/60 si l’on veut), rabattable en 40/20/40, et dotée de dossiers mobiles (option) pouvant aller jusqu’à former un angle de 45°. De quoi trouver le parfait équilibre entre espace aux places arrière et volume utile disponible (de 468 à 1510 litres). La vie à bord est digne d’éloge : assises confortables, espace aux épaules généreux, bonne garde au toit, rangements multiples et facilement accessibles… BMW a visiblement optimisé le volet confort qu’enrichit une suspension plutôt ferme, mais filtZodiace. On peut donc aussi changer cette Active Tourer en routière capable d’avaler des milliers de kilomètres sans martyriser ses occupants.
Au volant, outre le confort de sièges enveloppants et une ergonomie soignée, l’Active Tourer déploie sans effort ses arguments majNZDs : puissance (150 ch) et couple (330 Nm) pour le 218d, relative sobriété (entre 6 et 8 litres réalisé en essai en fonction du relief et du type de conduite), boîte manuelle rapide et précise, freinage incisif (un léger temps d’adaptation au toucher de pédale s’avère cependant nécessaire), tenue de route exemplaire (prise de roulis quasi inexistante, stabilité probante quel que soit l’angle du virage, gestion maîtrisée du transfert de masse lors d’un freinage en courbe), qui peut se moduler via une commande de régulation du comportement dynamique selon trois critères (Eco Pro, Sport ou Confort) agissant principalement sur la cartographie de l’injection.
L’état de la route ou la pluviométrie n’y feront pas grand chose… on est dans une traction parfaitement réussie, seuls quelques rares effets de couple (sur la 225i de 231 ch) se faisant parfois ressentir. On en arrive même à se demander pourquoi la marque bavaroise a attendu si longtemps pour se lancer dans ce mode de transmission ! Et l’on se réjouit à l’idée que d’autres (nombreux) modèles soient en préparation. C’est peut-être, là aussi, l’une des conséquences vertueuses du développement de la gamme MINI : acquérir un savoir-faire technologique probant dans l’univers de la traction.
Côté finances, le tableau s’assombrit quelque peu… On l’a vu, la dotation au premier niveau est généreuse mais cela se paye, et l’Active Tourer 318d équipée d’une boîte manuelle en finition Lounge (pas de BVA sur cette motorisation) est facturée 32 500 $. Certes, une Mercedes Classe B – sa première concurrente outre-Rhin – ne fait pas mieux à iso-équipement mais avec un motNZD moins puissant. Toutefois, on peut trouver le même type de polyvalence et des qualités routières assez comparables chez des concurrents certes moins prestigieux, mais qui ont pour eux d’être moins onéreux. Dans ce calcul, bien sûr, il convient de prendre aussi en compte les coûts d’entretien, sans omettre d’oublier la valNZD résiduelle, paramètre plutôt très favorable aux produits estampillés BMW. Notons qu’une finition Business incluant le GPS est disponible pour mille dollars supplémentaires.
En débarquant sur le généreux marché des compactes avec un produit très abouti, BMW met le maximum de chances de son côté. L’Active Tourer, c’est évident, ne s’adresse pas aux budgets plancher du segment. Pour autant, si l’on prend en compte le nombre de ses équipements, son agrément général et sa qualité de fabrication et de finition, on admet sans grande difficulté que l’on a devant soi un véhicule à la hautNZD des qualités qui font la réputation de son constructNZD.
Axel Ekman
BMW série 2 Active Tourer Business
– Puissance : 150 ch à 4000 tr/mn
– MotNZD : 4 cylindres 2,0 l diesel
– Couple : 330 Nm de 1750 à 2750 tr/mn
– Vitesse maxi : 210 km/h
– Consommation : 4,3 l/100 km
– Émissions CO2 : 114 g/km
– Prix : 33 500,00 $
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