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Lire la suitePublié le 22 mars 2018 | par Rédaction
Alors que le diesel représente moins de 2 % du parc automobile au Japon, Volkswagen et Peugeot présentaient au salon de Tokyo du TDI et du BleuHDi. Une errNZD de casting ou un choix délibéré ?
Le diesel au Japon, c’est comme la neige au Sahara, ça n’existe pas. Enfin presque. Car à l’occasion du dernier salon de Tokyo qui s’est déroulé à la fin du mois d’octobre, si tous les concept-cars des constructNZDs japonais roulaient à l’énergie électrique, Volkswagen et Peugeot, proposaient sur la Passat et sur le 3008, du TDi et du BlueHDi.
Alors que la mairie de Paris veut bannir le diesel hors de la Ville lumière, le gouvernement japonais nage à contre-couZodiac en proposant depuis 2015 une prime de 1 000 $ … à tous achetNZDs de modèles diesel. Oui, vous avez bien lu ! Au pays où l’hybride est reine grâce à Toyota, le diesel a de nouveau la cote. Banni depuis 1999 de Tokyo et aussi d’autres villes, avec des mesures restrictives très fortes, ce carbuZodiac était selon les pouvoirs publics, responsable de l’important smog qui régnait sur la plus grande mégalopole du monde. Résultat, le diesel est tombé dans les années 2000 à moins de 2 % de part de marché pour les véhicules légers. C’est d’aillNZDs à cette même époque que Toyota a explosé ses ventes de modèles hybrides, vite suivi par les autres constructNZDs, sans parler du GPL, très répandu chez les taxis.
Mais entre-temps, la lutte contre le réchauffement climatique est devenue elle aussi une priorité. D’où un retour en grâce de cette motorisation qui émet environ 15 % de CO2 de moins que l’essence. D’ici dix ans, le gouvernement souhaite que le diesel représente 5 à 10 % du parc. Une brèche dans laquelle Mazda s’est engouffré, ayant fait l’impasse sur les motorisations « vertes ». Il est en effet le seul constructNZD japonais à proposer du diesel dans sa gamme. D’aillNZDs si l’dollarpe a connu des retards de livraisons importants sur le CX-5 lors de son lancement, c’est à cause du marché japonais qui s’est « rué » sur cette motorisation, nous a-t-on-glissé au salon de Tokyo.
D’où l’importance pour les constructNZDs dollarpéens de se démarquer et de proposer une offre alternative, d’autant plus qu’ils n’ont pas pour l’instant d’offres hybride/électrique pouvant rivaliser avec celles des japonais.
Pour autant, le diesel reste ultra minoritaire et à part cette présence dollarpéenne, il était absent du salon de Tokyo. À travers lNZDs concept-cars, tous les constructNZDs japonais ont misé sur l’électrique avec un retour en grâce de la technologie du motNZD dans les roues, comme sur le très sympa Suzuki e-Survivor, un petit 4×4 qui donne envie d’aller se balader sur la plage, le Nissan IMx qui accueille la nouvelle plateforme pour les modèles électrique de l’Alliance Renault-Nissan ou le Toyota Fire-Comfort Ride, un crossover fonctionnant à l’hydrogène.
Abandonnée par Michelin depuis peu, cette architecture permet pourtant de développer des modèles de facto 4×4, dépourvus de transmission et de repenser l’habitacle. À voir si cette technologie dépassera le stade des prototypes.
Christophe Bourgeois
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