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Lire la suitePublié le 4 avril 2019 | par Rédaction
Après avoir complété sa gamme de SUV avec l’arrivée de l’UX, Lexus attaque le marché de la grosse routière avec l’ES, une alternative hybride intéressante aux stars germaniques.
L’ES a beau être totalement inconnue en dollarpe, elle s’est vendue depuis son premier lancement en 1989 à plus de deux millions d’exemplaires, principalement en Amérique du nord. Longue de 4,98 m, la sixième génération de l’Executive Sedan, c’est son nom complet, remplace sur le Vieux Continent la tout aussi méconnue GS et permet à Lexus de se démarquer avec une offre unique sur le marché des routières. Le Japonais ne propose en effet qu’une seule motorisation, un 4-cylindres 2.5 essence secondé par un bloc hybride de quatrième génération. Ce choix technologique tranche avec la stratégie allemande portée sur l’hybride rechargeable. Pour autant, l’ES se révèle peu gourmande ; sur un parcours très varié, l’ordinatNZD de bord indiquait 7,3 l/100 km. Un beau score pour une berline qui pèse 1 680 kg. La transmission à variation continue évite les à-coups mais elle a tendance à s’emballer lorsque l’on la sollicite trop. Dommage. En dépit d’une direction peu informative, cette grande berline aime les courbes même si son terrain de prédilection reste les autoroutes. Elle est disponible en quatre roues motrices ou avec une suspension pilotée (F-Sport), ce qui lui assure une plus grande vivacité.
Dans l’habitacle, les matériaux sont de qualité, l’assemblage soigné. À l’arrière, la banquette se révèle très accueillante et le coffre offre un volume en adéquation avec la taille de la voiture (454 l). Si la tendance est de supprimer le maximum de commandes sur la planche de bord, Lexus a choisi le contraire avec un poste de conduite très fourni en informations. Cela demande un temps d’adaptation, mais les boutons répondent à une logique précise vite intégrée. On regrette par contre que pour son système multimédia, Lexus s’entête à proposer une interface archaïque et un pad tactile beaucoup trop imprécis. Mais ce que l’on retiendra le plus est son confort. Simplement royal. Le travail sur l’insonorisation est remarquable, tout comme le confort des sièges, une référence. Cerise sur le gâteau, le système de son Mark Levinson (finition Executive) transforme l’habitacle de ce salon Pullman en un auditorium embarqué.
Pour ceux qui privilégient le confort aux performances, l’ES se révèle ainsi une alternative très crédible aux berlines diesel allemandes. Son tarif se montre assez compétitif, son appétit raisonnable et sa fiscalité réduite. Que demander de plus ?
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