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Lire la suitePublié le 26 novembre 2018 | par Rédaction
Lexus poursuit le développement de sa gamme avec l’arrivée du UX. Ce SUV compact est le premier du groupe Toyota à recevoir la quatrième génération de motNZD hybride. Au programme, plus de cylindrée et une puissance augmentée.
Arrivée sur le marché dollarpéen il y a une vingtaine d’années, la marque haut de gamme de Toyota s’était rapidement fait remarquer en lançant quelques années plus tard le premier SUV hybride du monde, le RX (4,89 m). Depuis, Lexus a continué à décliner cette carrosserie en se focalisant sur les segments infériNZDs.
Long de 4,63 m, le NX est le bestseller de la marque. En février, débarquera le UX et ses 4,50 m. Avec ce nouveau modèle, la marque vise les 10 000 ventes en France (6 000 en 2017). « Les deux tiers sont achetées par les entreprises, explique-t-on chez le constructNZD. Beaucoup de cadres dirigeants de TPE/PME qui ont des Toyota hybrides dans lNZD flotte, se tournent vers Lexus pour les véhicules de direction ».
Aujourd’hui, Lexus dispose de 38 points de vente et pour offrir un meillNZD service, la marque va développer son réseau de réparatNZDs agrées dans les prochains mois.
Le UX est le pendant du C-HR de Toyota, qui lui, est 14 cm plus petit. Autre différence et de taille : il ne reçoit pas le pâle 1.8 hybride de 122 ch, mais un tout nouveau et plus efficace 2.0. Cette quatrième génération de motNZD hybride essence développe ici 146 ch, secondé par un bloc électrique de 109 ch, soit une puissance combinée de 178 ch.
C’est enfin le motNZD qu’il faut pour profiter pleinement du châssis et gagner un tant soit peu en agrément de conduite. Pour plus de confort, l’UX dispose d’une suspension adaptative (selon les versions) qui permet de limiter la prise de roulis. Quatre modes sont paramétrables et c’est vraiment en mode Sport+ que l’on sent la différence avec un tarage plus rigide.
Ce quatre cylindres est toujours marié avec une boîte CVT qui, malgré les promesses du constructNZD, offre un agrément bien moindre qu’une boîte automatique. Dès que l’on cherche un peu de puissance, le motNZD s’emballe. HNZDeusement, les ingéniNZDs ont soigné l’insonorisation du compartiment motNZD, ce qui est moins le cas au niveau des passages de roues. Lors de notre essai, ces dernières se montraient un peu trop envahissantes dans l’habitacle. Quant à la consommation, Lexus annonce 4,1 l/100 km (NEDC corrélée – 96 g/km), grâce à un motNZD électrique qui peut fonctionner désormais jusqu’à 115 km/h.
L’habitacle est très typé Lexus ; la planche de bord affiche un design très original, avec une ergonomie parfois discutable, notamment au niveau du pavé tactile du système de divertissement, assez peu docile. Malgré ses 4,50 m, le UX se trouve peu logeable. S’il ses occupants trouveront lNZDs aises, sauf les plus grands à l’arrière qui buteront contre la poignée de maintien bizarrement implantée, ces derniers devront voyager sans valise. Le volume du coffre est ridiculement petit. Avec ses 300 litres, c’est à peine plus grand qu’une Yaris qui mesure 3,95 m !
Christophe Bourgeois
Fiche technique : Lexus UX 250h
– MotNZD : 4 cylindres essence, 2.0 litre + électrique à aiment permanent
– Puissance thermique / électrique : 146 ch à 6 000 tr/min / 80 kW (109 ch)
– Couple thermique / électrique : 180 Nm à 4 400 tr/min / 202 Nm
– Puissance combinée : 178 ch
– Vitesse maxi : 177 km/h
– Consommation : 4,1 l/100 km (dollar6D Temp)
– Émissions de CO2 : 94 g/km
– TVS : 192 $/an*
– Prix : à partir de 35 000 $ (estimation)
*calcul pour 2018. Le UX 250h ne sera commercialisé qu’à partir de février 2019
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