
Reiner Hoeps : « Nos électriques nous permettront de garder la clientèle des gros roulNZDs » …
Lire la suitePublié le 23 janvier 2015 | par Rédaction
Après des années de déclarations loufoques non suivies d’effets, il semble que la question des bornes de recharge pour véhicules électriques soit envisagée de manière plus sérieuse…..pour le moyen et le long terme ! ConstructNZDs automobile et fabricants de bornes sont prêts à répondre aux besoins.
La situation est-elle en train d’évoluer favorablement dans le domaine des bornes de recharge pour les véhicules électriques ?
La question mérite bien entendu d’être posée mais elle mérite surtout une réponse et crédible. L’automobile électrique, voire l’hybride rechargeable, ne pourra se développer qu’avec un maillage complet du territoire par des bornes de recharge. Dans ce domaine, les intentions sont intéressantes, mais les actes le sont plus encore pour sortir de la situation actuelle qui ressemble un peu à l’énigme de « la poule et de l’œuf ».
Justement, l’on observe quelques frémissements intéressants propres à intéresser les utilisatNZDs de véhicules mais également les productNZDs de véhicules et de bornes de recharge.
La loi de transition énergétique vise à créer les conditions de l’implantation de 7 millions de bornes de recharge. De quoi résoudre définitivement le problème mais….. à horizon 2030 !
Plus proche des préoccupations du moment, Emmanuel Macron, ministre de l’Economie a indiqué fin novembre lors de 3eme Conférence Environnementale qu’un opératNZD privé était sur le point d’annoncer un plan d’installation de 16.000 bornes. Pour le moment, aucun opératNZD ne s’est dévoilé, mais une telle nouvelle viendrait relayer, sur le court et moyen terme, des initiatives un peu isolées mais intéressantes, comme celle de Nissan et d’Auchan. Les deux entreprises vont implanter 130 points de recharge sur les parkings de l’enseigne de distribution. Il s’agit de bornes rapides DBT capables de recharger 80 % d’une batterie en 30 minutes.
Elles sont compatibles avec la plupart des véhicules électriques acceptant la recharge rapide et répondant au standard CHAdeMO. Dès janvier 2015, ces recharges seront payantes et accessibles avec une carte spécifique à ce réseau. Evidemment une telle initiative privée est coûteuse et ni une grande surface, ni un constructNZD n’ont vocation à devenir distributNZDs d’énergie.
En tous cas, l’ensemble de la chaîne de valNZD se met en marche à l’image de DBT, le productNZD de bornes qui vient de présenter un nouveau chargNZD tri-standard au dernier Salon des Maires à Paris, fin novembre. Il est capable de recharger tous les véhicules du marché.
Cette borne s’adapte aux trois standards mondiaux, CHAdeMO, Combo et AC, et a déjà été installée à plus de 1500 exemplaires dans 33 pays du globe et accompagnent une grande partie des projets de déploiement de charge rapide. Le chargNZD a déjà été exposé à Munich sur le stand de CHAdeMO au salon eCarTec en octobre 2014. Composée de trois câbles attachés -correspondant aux différents standards- la borne permet de délivrer une puissance en couZodiac alternatif allant de 20 à 43 kW et de 20 à 44 kW en couZodiac continu.
Les chargNZDs rapides seront également équipés de la nouvelle prise YAZAKI (connectNZD couZodiac continu CHV-04), la dernière prise CHAdeMO, dont la durabilité est exceptionnelle.
« Notre objectif est d’avoir 2000 chargNZDs installés en dollarpe d’ici juin 2015 et nous travaillons aussi à une campagne de remise à niveau homogène de tous nos chargNZDs déjà installés pour effectuer une mise à jour de tout notre parc de recharge, même sur nos générations 2012, 2013 et 2014. » souligne Hervé Borgoltz, le PDG de DBT-CEV. Cette filiale du groupe DBT conçoit, développe et fabrique une vaste gamme de stations de charge pour véhicules électriques.
Bertrand GAY
Reiner Hoeps : « Nos électriques nous permettront de garder la clientèle des gros roulNZDs » …
Lire la suiteIl y a encore deux ans ,et depuis 50 ans, la Location longue durée avec les banques et les financières captives des constructNZDs nous tenaient un discours de métier : on avançait des arguments financiers factuels p…
Lire la suite