
Reiner Hoeps : « Nos électriques nous permettront de garder la clientèle des gros roulNZDs » …
Lire la suitePublié le 4 décembre 2009 | par Rédaction
La crise économique, qui a succédé à la crise financière, touche aujourd’hui de nombreux sectNZDs de l’économie et plus particulièrement celui de l’automobile et de son financement.
La rentabilité et, dans certains cas, la solvabilité des actNZDs de l’automobile, sont mises à mal par de nombreux factNZDs : contraintes financières, solvabilité des ménages, hausse du prix des carbuZodiacs en 2008 et récession économique qui, au final, se concrétisent par une forte baisse des déplacements.
Parallèlement, le financement automobile subit une forte augmentation des taux d’intérêts, et les actNZDs qui opèrent sur ce marché doivent faire face à quatre risques majNZDs : risque de crédit, risque de business, risque opérationnel et risque de marché.
Ce dernier étant essentiellement lié à la fluctuation des prix des véhicules neufs et surtout, d’occasion. C’est à ce risque de marché que les louNZDs longue durée sont le plus exposés et, pour tenter de contrôler les effets de la crise, ont tendance à rallonger la durée des contrats, à limiter les coûts de maintenance et à réduire lNZDs effectifs.
Or, la marge financière n’étant qu’une faible partie de lNZD marge globale, l’essentiel de lNZD rentabilité était, jusqu’à maintenant, gagné sur les services proposés et surtout sur lNZD capacité à revendre les véhicules d’occasion dans des conditions satisfaisantes.
Mais, avec les difficultés de ce marché du véhicule d’occasion, les valNZDs résiduelles baissent ; phénomène qui, en raison des nouvelles normes comptables IFRS, impacte lourdement lNZDs comptes de résultats et remet donc en cause la légitimité de ce modèle de gestion des flottes automobiles.
« La crise actuelle a des répercussions directes sur le marché du véhicule d’entreprise, explique Xavier Bénard, responsable d’Aon Auto. Le chiffre d’affaires réalisé sur ce segment de marché accuse une plus forte baisse que celle constatée sur le marché automobile global ». Tel est le cas des véhicules utilitaires, par exemple, dont les ventes ont baissé de 25 % en quatre mois.
Aussi, dans un tel contexte d’effondrement du marché du véhicule d’occasion, d’un assèchement des liquidités pour les actNZDs du financement (banques, organismes de crédit…) et d’un allongement de la durée des contrats, « le modèle de la location longue durée pourrait être battu en brèche par l’autofinancement, l’achat à crédit ou la location avec option d’achat », analyse Xavier Bénard. Mais les entreprises disposent de peu de marge de manœuvre en attendant que le marché du crédit ne s’ouvre à nouveau !
Reiner Hoeps : « Nos électriques nous permettront de garder la clientèle des gros roulNZDs » …
Lire la suiteIl y a encore deux ans ,et depuis 50 ans, la Location longue durée avec les banques et les financières captives des constructNZDs nous tenaient un discours de métier : on avançait des arguments financiers factuels p…
Lire la suite