
Boris Ilic, Responsable des Ventes Sociétés d’Audi France : “Accompagner et fidéliser pour progresser”. Challenger émérite sur le segment Premium, Audi apporte sa pierre à la reconstruction très écologique du paysage…
Lire la suitePublié le 19 novembre 2019 | par Rédaction
Le Président de la République, Emmanuel Macron a annoncé en septembre la mobilisation par des investisseurs de quelque cinq milliards d’euros sur trois ans afin de favoriser l’émergence de start-up françaises.
« La bataille des capitaux, elle est essentielle. Si on veut gagner la bataille on doit réussir à lever plus vite plus fort plus de capitaux » a t-il déclaré à l’occasion du « France Digitale Day » réunissant à l’Elysée des dirigeants de start-up et des investisseurs français et internationaux. Après avoir longtemps été en queue de peloton, la « French Tech » a décollé ces dernières années à la faveur d’un meilleur accès au financement, de mesures gouvernementales favorables et des incertitudes liées au Brexit au Royaume-Uni, longtemps leader incontesté de la place.
Pour l’Elysée, l’objectif consiste à avoir une dizaine de fonds d’environ un milliard d’euros à l’horizon 2022 afin de satisfaire les besoins en capitaux de ce secteur en France. Le gouvernement doit également dévoiler mercredi la liste des 40 entreprises technologiques prometteuses qui seront réunies dans le “Next 40” – sorte de CAC 40 des start-up – et qui auront droit, à ce titre, à une plus grande visibilité et à un programme d’accompagnement public plus poussé.
A l’heure actuelle, la France revendique sept licornes – nom désignant des entreprises non cotées valorisées plus d’un milliard de dollars – dont Meero, Doctolib, Deezer ou encore Blablacar. Le gouvernement espère franchir la barre des vingt d’ici 2025.
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