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Lire la suitePublié le 16 décembre 2016 | par Rédaction
Avec sa Ioniq, Hyundai s’installe sur un créneau prometteur… Disponible en octobre, l’anti-Prius coréenne est déclinée en trois technologies : électrique, hybride simple ou rechargeable.
Esthétiquement, on est plus proche des lignes d’une berline compacte habituelle que de celles d’un animal de soufflerie… Et pourtant, la Hyundai Ioniq – plutôt agréable à regarder – revendique un CX de 0,24 similaire à celui de sa concurrente, la Toyota Prius – pas sexy, mais qui se vend bien.
La version hybride non rechargeable essayée se présente sous la forme d’une combinaison d’un moteur essence 1,6 l de 105 ch et d’un moteur électrique de 44 ch. Le potentiel cumulé de ces deux unités développe un couple et une puissance de 265 Nm et 141 ch exploités via une boîte de vitesses à 6 rapports et double embrayage assurant une exploitation douce des ressources.
En effet, pas question ici de conduire bille en tête : la loi du genre justifie un pied droit léger pour atteindre, sur parcours mixte, une consommation réelle affichée autour 5,7 litres.
Un peu moins grande que sa concurrente nippone, la Ioniq offre cependant des cotes d’habitabilité tout à fait acceptables, synonymes d’espace aux jambes et aux coudes. L’intérieur est plutôt bien dessiné, dans le registre classique, et la qualité des matériaux utilisés est satisfaisante.
À bord, on apprécie un confort de bon aloi (malgré une suspension perfectible), favorisé par des sièges dans la bonne moyenne. L’aspect pratique n’est pas négligé non plus avec un coffre de 550 litres pouvant, sièges arrière rabattus, libérer un espace de 1505 litres maximum. Agréable à conduire malgré une direction trop assistée, cette hybride se sent à l’aise en ville comme sur n’importe quel parcours routier, abstraction faite de reprises un peu trop tempérées pour certains dépassements.
Hyundai a ajouté à son catalogue un niveau de finition “Business” qui comporte un régulateur de vitesse et de distance, le freinage d’urgence automatique, l’alerte de franchissement de ligne, des rétroviseurs électriques et dégivrants, une caméra de recul, un GPS sur écran 8” avec un abonnement gratuit à vie pour les services Tom-Tom Live, la recharge par induction et une connectique complète (avec passerelle Apple et Androïd).
Si les tarifs ne sont pas encore affichés, il se dit que cette version devrait être facturée aux alentours de 27 000 euros. Important également, la garantie habituelle de 5 ans est doublée d’une garantie de 8 ans (ou 200 000 km) pour les batteries.
Axel Ekman
– Moteurs : 4 cylindres essence + électrique synchrone
– Puissance : 105 ch à 5700 tr/mn + 44 ch (cumul : 141)
– Couple : 147 Nm à 4000 tr/mn + 170 Nm (cumul : 265)
– Vitesse maxi : 185 km/h
– Boîte : auto à 6 rapports
– Consommation mixte théorique : 3,4 l/100 km
– Émissions CO2 : 79 g/km
– TVS : exonération 2 ans + aide de 750 €
– Prix : NC
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