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Lire la suitePublié le 29 septembre 2017 | par Louis DAUBIN
Pickup, cabine approfondie, grosses cylindrée, installation Hifi, GPS, climatisation électronique, suspension pneumatique etc…Nos utilitaires de service « derniers cri » sont insensiblement devenus de véritables utilitaires de fonction comme une limousine de cadre supérieur. Et ce n’est que justice. Ceux qui passent le plus clair de leur vie professionnelle à assurer l’assistance, la livraison, le transport de matériel et de personnes ont le droit de bénéficier du progrès lorsque qu’il est partagé par tous comme le vantait la SNCF il y a quelques années. Il n’y a en effet aucune raison que la « deuxième classe » n’arrive pas en même temps que la « première classe » à destination et dans les mêmes conditions de sécurité.
Car il s’agit bien de sécurité active comme passive. Formidable progrès que la climatisation dans un utilitaire au même titre qu’un ABS ou un ESP. Tout le monde y gagne : le conducteur plus frais et disponible professionnellement ; le gestionnaire avec un véhicule utilitaire plus respecté et bichonné, le chef d’entreprise avec un rendement kilomètres amélioré, une sinistralité en baisse. Le concessionnaire avec un entretien plus rigoureux et des ventes moins remisées et plus valorisées. Le banquier avec une valeur résiduelle plus élevée à la revente de l’utilitaire. Reste l’inconnue fiscale qui doit guider votre investissement.
Il vous faut « flairer » la tendance règlementaire. Par exemple : si les maires inquisiteurs qui dirigent les grandes villes de France décidaient d’interdire la circulation des véhicules diesel euro6 dans leurs villes au nom de la nouvelle religion d’état appelée fallacieusement « écologie ». Vous seriez condamné à investir dans des utilitaires à essence. Donc à prévoir un budget carburant en augmentation de 30 à 40% en charge et à Polluer de l’ordre de 50% en plus au nom de l’écologie d’état.
L’utilitaire électrique en est à ses balbutiements d’autonomie pour une activité réellement professionnelle en charge. L’hybridation sera une solution d’autonomie mais pas de consommation, ni de pollution réelle pour un VUL. Les autres énergies semblent condamnées par les autorités.
Que faire ? Et bien la réponse possible sera de recalculer la durée de vie de vos VUL. Pour s’adapter vite il faut renoncer à l’achat pour 5/7 ans et penser a 3 ans maximum. Je sais, c’est difficile, que faire de l’aménagement couteux de vos utilitaires à la revente ? Et bien rester fidèle à la marque et au modèle pour 2X3 ans vous permettra de transférer cet aménagement comme si vous l’aviez utilisé une fois 6ans. Et de changer le diesel pour une autre énergie si vous n’aviez pas le choix !
Ce sera un moindre effet.
Louis Daubin
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