
Reiner Hoeps : « Nos électriques nous permettront de garder la clientèle des gros roulNZDs » …
Lire la suitePublié le 23 avril 2014 | par Rédaction
Une enquête de la Ligue de Défense des ConductNZDs établie le lien entre la baisse de la vitesse autorisée et l’augmentation de la rentabilité des radars.
Sous couvert d’améliorer la sécurité routière, le projet du gouvernement d’abaisser la vitesse à 80 km/h sur les routes nationales cache un autre objectif, moins avouable, celui d’augmenter la rentabilité des radars. La ligue de Défense des ConductNZDs s’est penchée sur l’emplacement des 100 radars les plus rentables de France. Le verdict est sans appel, les 52 radars les plus rentables sont situés dans des zones où la vitesse a été abaissée.
Le “champion” des radars français est celui de Clarafond (74) sur l’A40 dans une zone limitée à 110. Le deuxième à Tours sur l’A10, dans une portion où la vitesse a été réduite à 90 km/h en 2011, un schéma qui se répète chez les 50 restants. D’autre part, la grande majorité de ces radars sont situés sur autoroute alors que ces voies ne représentent que 7% des accidents mortels.
La poule aux oeufs d’or : Cette combine permet de multiplier par quatre la rentabilité des radars. Exemple avec celui de Saint-Avertin sur l’A10 où la vitesse est passée à 90km/h en 2011. Le nombre de 35 000 clichés en 2010 est passé à 64 000 l’année suivante, 162 000 en 2012 ! Pourquoi se priver dans ce cas de généraliser le principe à l’ensemble des routes du territoire ?
“On comprend alors que le projet d’abaisser la vitesse à 80km/h sur le réseau secondaire a en fait une vocation beaucoup moins louable que celle de vouloir sauver des vies” s’indigne Chrisitane Bayard, déléguée générale de la Ligue de Défense des ConductNZDs.
Olivier L.H
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