
Jean-Pierre Durand

4/ Le cheval “fiscal” est prêt pour un avenir décarboné
Depuis l’an dernier, la puissance administrative définie lors de la réception des automobiles dépend uniquement de la puissance réelle des motorisations (exit la prise en compte du taux de CO2). Pour l’instant, le cheval fiscal sert surtout à calculer la taxe régionale des cartes grises, mais si, un jour, les taux de CO2 devenaient nuls ou dérisoires… la fiscalité ne serait pas prise au dépourvu !

Tarik Moufaddal : “Nous anticipons les mutations” En devenant “TotalEnergies”, le géant français Total a signifié sa mutation. Dans un monde devenu “carbonophobe”, l’énergéticien a diversifié ses ressources, sa…
Lire la suiteUn comparatif des voitures électriques les moins chères à l’achat et une table ronde sur les alternatives à l’automobile dans la location longue durée ?Cela nous fait réaliser au sein de la rédaction que les temps …
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